Le Body Art
- lestudiobordelais
- 2 mars 2015
- 2 min de lecture
Loin de nous l’idée de marginaux, aujourd’hui nous sommes beaucoup a posséder un tatouage. Qu’il soit discret ou couvrant notre corps, qu’il soit symbolique ou simplement esthétique, marquer sa peau est un moyen de prendre possession de son corps. En France une personne sur dix est tatouée et pourtant le tatouage est encore souvent mal perçu dans notre société.

Le tatouage est devenu un vrai phénomène de mode, un accessoire permanent, c’est une façon d’attirer l’attention, de parfaire un peu plus son look. C’est la volonté de rendre son corps plus beau, à travers une histoire, un dessin. Le tatouage a une valeur identitaire face à la société, la beauté du signe, l’impact visuel, voilà ce qui attire. Le monde du tatouage se nourrit des tendances du graphisme, et inspire le milieu de l’art moderne.
En effet, le monde du tatouage côtoie celui de l’art moderne parfois. Comme l’artiste belge Wim Delvoye qui a exposé à la foire d’art contemporain de Shangaï, deux cochons tatoués des fameux signes de Louis Vuitton. C’est en 2008 qu’il tatou le musicien Tim Steiner, un collectionneur allemand a acheté cette œuvre a 150 000 euros, le tatoué s’est engagé à s’exposer trois par an et à léguer la peau de son dos à sa mort.

Mais cette idée farfelue n’est pas celle de tout le monde, nous vous proposons donc une série de tatouages coup de cœur du Studio.
Piqué une fois mais jamais vacciné
Une fois que le pas a été franchi, on ne peut plus s’arrêter, près de la moitié des tatoués ont entre deux et cinq tatouages. Le tatouage se transforme alors en une narration.
Axelle G.
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